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  • Catholiques et Identitaires, de Julien Langella

    Que le temps semble loin où le pape Saint Pie X pouvait déclarer fermement : « Si le catholicisme était ennemi de la patrie, il ne serait plus une religion divine ». Naturellement, les critiques fusent aujourd’hui de toute part comme les têtes de l’Hydre : pour les uns – ceux qui ont pignon sur rue – le catholicisme persisterait dans son être « autoritaire », « réactionnaire », voire « fasciste » ; pour les autres – les dissidents au front bas – il est une « religion du désert » égal de l’Islam ou du Judaïsme, responsable du malaise dans la civilisation et des malheurs de nos frères. Dans une alliance de circonstance incongrue, les deux parties s’accordent en fin de compte sur le remède : purger la France de sa Foi et de sa Tradition catholiques, et vous vivrez le meilleur des mondes.

     

    Répondant aux deux apories en un essai indispensable, Julien Langella prouve avec force conviction qu’être identitaire pour le catholique, bien plus qu’une modalité d’existence supplémentaire, est une nécessité qui émane de la Foi même. Pour notre auteur, il ne s’agit pas d’un numéro d’équilibriste bancal, mais bien d’une unité essentielle, rappelant page après page la position officielle de l’Eglise depuis l’aube du message christique. Il est en effet de ces constats incontournables : la France a pu vivre sans mal mil cinq cent ans de christianisme pour seule religion, avec des rois qualifiés de rex christianissimus durant six cent ans, et a pu s’imprégner si ardemment des enseignements de l’Eglise qu’elle en est devenue la fille aînée.

     

    On conviendra dès lors, en se plongeant dans Catholiques et Identitaires, que certaines vérités méritent sans aucun doute d’être dépoussiérées, exposées, et célébrées.

     

     

    Vaslav Godziemba, pour le SOCLE

    La critique positive de Catholiques et Identitaires au format .pdf

     

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  • Revenir à la Nation, de Jean-Louis Harouel

    Revenir à la Nation est un essai politique qui met en évidence la nécessité pour les peuples européens de se réapproprier la fierté culturelle et civilisationnelle absolument nécessaire à leur survie1. Celle-ci apparait impossible sans un minimum de ce que l’auteur appelle un « égoïsme sacré ». Faisant le lien avec Lévi-Strauss, Harouel affirme que la subsistance d’un groupe humain passe par l’ « amour particulier », en opposition avec l’ « amour universel » issu de la doctrine chrétienne dévoyée. Il démontre ainsi en quoi l’Etat-Nation demeure toujours actuellement pour les peuples européens le cadre privilégié au sein duquel cet « amour particulier » doit faire loi.

    L’essai est structuré en trois parties : Une première qui analyse en quoi les Nations, qui ont su durant plus de 1500 ans coexister de façon admirable et synergique avec le christianisme, sont actuellement victimes des idéologies postchrétiennes, de la « tyrannie de l’Universel » ; Une deuxième partie dans laquelle il traite de l’origine du concept d’Etat-Nation européen qui réside dans la notion de peuple élu et dans le système politico-juridique du royaume d’Israël ; Une troisième qui expose la nécessité d’un renouveau de l’application de ce système d’Etat-Nation pour les nations européennes et précise les différentes modalités de ce renouveau : application de l’« amour particulier », recentrage de l’Etat sur la Nation en s’inspirant du modèle israélien, destruction de l’Union Européenne, arrêt et refoulement de l’immigration de peuplement.

     

    Vaslav Godziemba, pour le SOCLE

    La critique positive de Revenir à la Nation au format .pdf

     

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