En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Qu'est-ce que le paganisme ? Comment se situe-t-il par rapport au judéo-christianisme ? Quelle vision du monde donne-t-il ? Quel est notre destin, ou plus simplement, à quoi voulons-nous nous destiner ? A travers Comment peut-on être païen ? 1, Alain de Benoist donne les réponses que l'Européen de tradition antique ou que l'individu se questionnant sur notre héritage recherche.
Structure de l’œuvre: Adoptant une démarche stratifiante, discriminante, Alain de Benoist analyse méthodiquement les différentes sphères de la pensée Européenne ainsi que leurs sources: païenne et/ou chrétienne. Ne cherchant pas à convaincre absolument ses lecteurs, de Benoist rappelle que des deux visions bien souvent antagonistes de l'existence qu'il décrit, l'on pourra préférer celle qui n'a pas sa faveur.
Être rebelle, c’est être à soi-même sa propre norme par fidélité à une norme supérieure.
Dominique Venner
Un samouraï d’Occident 1 est le testament, le dernier témoignage de Dominique Venner aux Européens d’une civilisation en dormition. En nous livrant la quintessence de ses précédentes réflexions, Dominique Venner nous amène à contempler notre Tradition et nous montre que notre retour à celle-ci est la condition de notre réveil. En se livrant à une méditation de l’histoire sur la longue durée, il nous fait également comprendre que les valeurs portées dans notre plus ancienne mémoire peuvent être embrassées par chacun sans se renier.
Enfin, en écrivant ce livre-héritage, Dominique Venner a en particulier voulu s’adresser aux femmes dont le rôle de transmission nous apparait aujourd’hui plus que jamais central pour faire face aux immenses périls nous menaçant.
Structure de l’œuvre : Si l’on retrouve l’approche concentrique présente dans Histoire et tradition des Européens 2 permettant de mieux dégager les permanences caractérisant le monde européen, le propos de Dominique Venner suit quant à lui une voie claire et droite. Chapitre après chapitre, Dominique Venner nous dit tout d’abord d’où il vient et donc d’où il parle (chapitre I). Il nous explique ensuite quelle est la source de nos maux : la métaphysique de l’illimité (chapitre II). Et c’est parce que nous sommes pris au piège de notre propre univers mental que Venner nous propose un détour par le Japon pour nous permettre de nous contempler et ainsi voir quelle est notre vraie nature (chapitre III). Notre mémoire oubliée commence alors à nous apparaitre à travers la figure des grands hommes qui retournèrent à elle (chapitre IV) montrant par la même la permanence de cette dernière. Remontant les courants de notre longue mémoire, Dominique Venner nous ramène à la source première : la source grecque de l’Iliade 3 et de l’Odyssée 4, notre source mystique, notre horizon (chapitre V). Nous découvrons dès lors une deuxième source, fille de la première: la source romaine du stoïcisme[*], notre source philosophique, notre but (chapitre VI). L’Européen qui puisera à ces sources pourra alors comprendre l’ultime épilogue écrit par Dominique Venner et l’acte de refondation qu’il porte.
Si nous devons remonter aux sources premières de notre mémoire, quel sont nos plus anciens textes sacrés ? Aux côtés de l'Iliade et de l'Odyssée, piliers premiers de notre tradition, on trouvera immanquablement la Théogonie d'Hésiode. Décrivant la naissance des Dieux, la Théogonie nous rappelle notre véritable nature, celle d'enfants des Dieux à qui nous devons nous efforcer de ressembler. Pour y parvenir, Hésiode nous chante l'ordre cosmique incarné par les Dieux et le premier d'entre eux: Zeus. Comprendre cet ordre, c'est ce qui nous permet de méditer notre métaphysique: la métaphysique de l'Absolu, élément indispensable d'une nouvelle Renaissance européenne.
Structure de l’œuvre: La Théogonie est un hymne aux Dieux. L'appréhension par le lecteur de sa dimension lyrique et religieuse est donc fondamentale pour faire vivre l'hommage d'Hésiode aux Muses et aux souverains de notre monde.
Parmi les philosophies antiques, le stoïcisme tient une grande place. Traversant l'antiquité grecque et l'antiquité romaine sur près de six siècles, symbole du sérieux et de l'abnégation de tout un peuple, l'école du Portique apprend à ses disciples à vivre en harmonie avec l'univers et ses lois. Maîtrise de soi, courage, tenue, éthique, ce sont là quelques mots clés pour comprendre le stoïcisme. Le Manuel 1 d'Epictète, condensé de cette sagesse, permet à chaque Européen de renouer avec les plus rigoureuses racines de notre civilisation. Brillant exemple de ce que pouvait produire l'univers mental propre au paganisme européen, le stoïcisme continuera d'irriguer la pensée européenne sur la longue durée (avec notamment le mouvement du néo-stoïcisme de la Renaissance). Et au delà de la longue durée, il est important de souligner l'actualité de la philosophie stoïcienne. Philosophie de temps de crise comme le souligne son histoire, le stoïcisme redirige l'homme vers l'action.
Structure de l’œuvre:Le Manuel est volontairement court. Il s'agit d'un condensé des leçons données par Epictète. Si court qu'il soit, on pourrait s'attendre à une idée différente à chaque aphorisme. Et pourtant les idées centrales ne sont que quelques-unes. Le lecteur ne doit donc pas s'étonner de voir répétées sous des formes différentes, à partir d'observations différentes, les mêmes idées. Ce manuel est un précis de gymnastique, une gymnastique de l'âme. Quelques mouvements y sont codifiés. Ce qui importe n'est pas le nombre mais bien la perfection dans l'exécution. Que chacun puisse donc y voir une porte d'entrée vers une métaphysique de l'absolu, celle de nos origines et qui s'oppose à la métaphysique de l'illimité dans laquelle nous nous perdons aujourd'hui.