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jean-louis harouel

  • La Grande Falsification ou l'art contemporain, de Jean-Louis Harouel

    Qui ne s’est jamais lamenté, chez les esprits encore assez éclairés pour l’entrevoir, devant la laideur généralisée mise au pinacle sous le nom d’art contemporain ? Qui n’a pas soupiré de dédain et de désintérêt en balayant du regard ce que les réactionnaires appelleraient volontiers un « canul’art », ou de l’Art « Comptant-pour-rien » ? Si l’on reste loin des sirènes de la police de la pensée de notre temps le constat est limpide, clair, et ne devrait pas être sujet à polémique : le « tree » de Paul Mac Carthy aux allures de Plug Anal géant, les baudruches versaillaises de Jeff Koons ou les colonnes de béton géométriques du psychorigide Buren entretiennent un rapport à l’esthétique qui n’a plus rien à voir avec celui des œuvres de Michel-Ange et du Caravage.

     

    Néanmoins une question reste en suspens.

     

    Si fait est établi du néant artistique actuel, que peut-on dire du processus de néantisation qui l’a engendré ? En d’autres termes : comment, après les maîtres d’hier, la civilisation occidentale a-t-elle pu accoucher des « créateurs » et des « plasticiens » d’aujourd’hui ?

     

    La Grande Falsification ou l’art Contemporain est un pamphlet politico-esthétique dans lequel son auteur, Jean-Louis Harouel, démonte la supercherie maintenant séculaire de l’art contemporain, héritière de la modernité artistique dite d’avant-garde, et évoque les voies de salut artistique envisageables pour la civilisation occidentale. Son analyse est découpée en trois grandes parties, correspondantes aux différentes crises qui ont frappé l’Art académique millénaire européen : une crise technique, une crise philosophico-esthétique, et enfin une crise politico-financière. Le travail de l’auteur, puissant et direct, apparait salutaire à l’heure où les peuples européens ressentent un cruel besoin de réenchanter leur monde et leur horizon esthétique.

     

     

    Vaslav Godziemba, pour le SOCLE

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  • Revenir à la Nation, de Jean-Louis Harouel

    Revenir à la Nation est un essai politique qui met en évidence la nécessité pour les peuples européens de se réapproprier la fierté culturelle et civilisationnelle absolument nécessaire à leur survie1. Celle-ci apparait impossible sans un minimum de ce que l’auteur appelle un « égoïsme sacré ». Faisant le lien avec Lévi-Strauss, Harouel affirme que la subsistance d’un groupe humain passe par l’ « amour particulier », en opposition avec l’ « amour universel » issu de la doctrine chrétienne dévoyée. Il démontre ainsi en quoi l’Etat-Nation demeure toujours actuellement pour les peuples européens le cadre privilégié au sein duquel cet « amour particulier » doit faire loi.

    L’essai est structuré en trois parties : Une première qui analyse en quoi les Nations, qui ont su durant plus de 1500 ans coexister de façon admirable et synergique avec le christianisme, sont actuellement victimes des idéologies postchrétiennes, de la « tyrannie de l’Universel » ; Une deuxième partie dans laquelle il traite de l’origine du concept d’Etat-Nation européen qui réside dans la notion de peuple élu et dans le système politico-juridique du royaume d’Israël ; Une troisième qui expose la nécessité d’un renouveau de l’application de ce système d’Etat-Nation pour les nations européennes et précise les différentes modalités de ce renouveau : application de l’« amour particulier », recentrage de l’Etat sur la Nation en s’inspirant du modèle israélien, destruction de l’Union Européenne, arrêt et refoulement de l’immigration de peuplement.

     

    Vaslav Godziemba, pour le SOCLE

    La critique positive de Revenir à la Nation au format .pdf

     

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